Aujourd'hui lors d'une intense journée de révision entre droit et histoire avec ma super cop's BB, j'ai voulu lui faire écouter une chanson que j'adore de Thieves Like Us, que je n'ai pas retrouvé (cf: le transfert d'ordi), j'ai donc du retélécharger pas mal de leur morceaux ce qui m'ammène donc au but de cette article. Thieves like us c'est cool, je suis très "pertuuuuurbé" en ce moment avec des étoiles dans les yeux, je ne serais jamais prete pour mes partielles, le nouvel an approche, dublin également, et demain j'ai un anniversaire déguisé qui s'annonce énorme.
images des clips from christiane F en plus !
mercredi 29 décembre 2010
lundi 27 décembre 2010
Alice V. utilise désormais blogger sur macbookpro
Après une petite absence du à l'abandon de mon 2em clavier (de longues histoires de fin de soirées...), me revoilà avec un titre certe très prétentieux, vous m'en excuserez, mais je suis littéralement folle amoureuse de mon nouveau bébé ! Nouvel ordinateur est également synonyme de transfert de tout mon contenue d'ancien ordi hs, dont ma musique, ce qui fut une longue et longue épreuves à traverser ! Ce qui m'a notamment permit de retomber sur des petites perles musicales, mais on en reparlera plus tard ! J'ai également eu la chance d'avoir mes places de concerts pour Klaxons et les Black Angels, ce qui fait que je réécoutes beaucoup de Klaxons en ce moment, ce que je vous conseille vivement ! Pas grand chose à raconter ici vous l'aurez comprit, je reviendrais avec plus de choses à dire, et un ventre moins gonflé par ces derniers jours.
regardez plutot cette vidéo que je n'arrive pas à mettre, j'adore
Ce mec, Mike Tompkins, est mon petit coup de coeur du moment !
Pourquoi deux photos de Bobby et Suze (et Van Ronk) ? Tout simplement parce que le froid que nous avons ces derniers temps me rappelles le passage de son livre où elle nous raconte les circonstances de la prise de ces photos, un photographe arrive pour prendre dylan en photo pour illustrer la pochette de Freewheelin' du coup il embarque Suze, il fait très froid et elle sort son manteau en peau retourné, un peu comme nous (moi et mon bombardier) en ce moment. (merci les connexions "logiques" de mon cerveau)
dimanche 19 décembre 2010
The Dark Passenger
“Maybe Jordan was right. Maybe I am cursed, and it spills out to everyone around me.”
Fin de la saison 5. La meilleure.
mercredi 15 décembre 2010
mardi 14 décembre 2010
Guns of Brixton
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Paul Simonon Bassiste des Clash |
Mon corps est contradictoire. Je suis jeune et je me tape une phlébite en aout (j'ai du expliquer une centaine de fois ce que c'était donc je vous réoriente ici), et malgré le fait que je respecte mon traitement et que je porte tous les jours mes collants de contensions (oui même l'été), j'avou ne pas être très raisonnable niveau alcool et clopes (fortement déconceillé). Cependant mon rendez vous d'aujourd'hui a démontré que ma jambe se remettait très bien, voire exeptionellement bien, ce qui m'amène à devoir continuer mon traitement jusqu'à juin, wtf ? Mise à part ca, itunes et son mix de morceaux m'ont replongé dans une enième période Clash. Je ne vois pas trop l'interet de présenter un groupe comme les clash, cependant, les clash me rappellent un livre que j'avais lu d'une traite au canada avec leur musique en fond sonore. Ce livre prété par Louise (cf: la fille trop cool) s'intitule Au Dela de l'Avenue D, et est écrit par Philippe Marcadé. Voici la préface de ce livre écrite par Christophe Conte des Inrockuptibles:
"Eté 1972, un jeune Français de dix-sept ans débarque aux Etats-Unis pour l’un de ces trips alors en vogue, sous la double influence de Kerouac et de Easy Rider : emprunter la Route 66 comme on offre un horizon sans fin à l’insouciance de sa jeunesse. Par cette traversée initiatique et joyeusement enfumée, semée d’embûches tragicomiques, Philippe Marcadé démarre en trombe un récit vertigineux, uniquement fondé sur des souvenirs dont quelques autres moins modestes auraient façonné une légende.
Car Marcadé a tout vu ou presque des chamboulements qui ont métamorphosé le visage d’une certaine Amérique des années 70, des derniers feux de la « contre culture » au grand embrasement de la « culture contre », le punk US, et de son épicentre, New York City. A la fois aux premières loges et dans la coulisse, sur la photo et à la mise en scène, Marcadé va vivre en dix ans l’équivalent de dix vies, laissant ensuite mariner dans sa mémoire ce trop plein d’aventures extravagantes pour n’en livrer le récit qu’aujourd’hui, à l’heure où cette époque est comme statufiée dans la mythologie, où le CBGB’s a définitivement fermé ses portes (mais pas sa fabrique de Tee-shirts) et où Manhattan sent désormais autant le souffre que Disneyland. Hippie sans conviction mais punk de la première seconde, Philippe Marcadé, alias Flipper, passerait aisément pour un mythomane hors catégorie si les photos qui accompagnent son témoignage n’en validait l’authenticité, et surtout si la vérité du vécu ne palpitait autant sous chacune des anecdotes de première main qui bourgeonnent à chaque chapitre de son livre. Sans parler du casting, qui embrasse toute la faune interlope de ces années-là, la plupart du temps vue sous un angle inédit. Jugez plutôt : des New York Dolls à Blondie, de Nan Goldin aux Ramones, de Nancy Spungen aux Cramps, il est de tous les baptêmes, témoin des effusions comme des (nombreuses) embrouilles, à l’origine parfois de certaines d’entre-elles. Mi-Candide mi-Zelig - ce personnage de Woody Allen qui s’incrustait dans l’histoire du siècle - Marcadé croise aussi Bob Marley et ses Wailers à l’aube de leur explosion planétaire, ou plus tard une danseuse anonyme qui ne se fait pas encore appeler Madonna. Et aussi Warhol, John Waters, Divine, The Clash… Il est lui-même leader d’un groupe, The Senders, seconds couteaux bien affûtés de la scène punk New Yorkaise, qui fait les beaux soirs du Max’s et du CB’s, l’alpha et l’oméga de la déglingue stylée dont on visite ici l’arrière cuisine, voire les égouts. Pathétique, hilarant, profondément touchant, foisonnant de détails (et de substances chimiques) dont même les plus sûrs exégètes du punk ignoraient l’existence, ce livre n’a pourtant rien d’un pavé assommant pour spécialistes et fétichistes.
Car Marcadé a tout vu ou presque des chamboulements qui ont métamorphosé le visage d’une certaine Amérique des années 70, des derniers feux de la « contre culture » au grand embrasement de la « culture contre », le punk US, et de son épicentre, New York City. A la fois aux premières loges et dans la coulisse, sur la photo et à la mise en scène, Marcadé va vivre en dix ans l’équivalent de dix vies, laissant ensuite mariner dans sa mémoire ce trop plein d’aventures extravagantes pour n’en livrer le récit qu’aujourd’hui, à l’heure où cette époque est comme statufiée dans la mythologie, où le CBGB’s a définitivement fermé ses portes (mais pas sa fabrique de Tee-shirts) et où Manhattan sent désormais autant le souffre que Disneyland. Hippie sans conviction mais punk de la première seconde, Philippe Marcadé, alias Flipper, passerait aisément pour un mythomane hors catégorie si les photos qui accompagnent son témoignage n’en validait l’authenticité, et surtout si la vérité du vécu ne palpitait autant sous chacune des anecdotes de première main qui bourgeonnent à chaque chapitre de son livre. Sans parler du casting, qui embrasse toute la faune interlope de ces années-là, la plupart du temps vue sous un angle inédit. Jugez plutôt : des New York Dolls à Blondie, de Nan Goldin aux Ramones, de Nancy Spungen aux Cramps, il est de tous les baptêmes, témoin des effusions comme des (nombreuses) embrouilles, à l’origine parfois de certaines d’entre-elles. Mi-Candide mi-Zelig - ce personnage de Woody Allen qui s’incrustait dans l’histoire du siècle - Marcadé croise aussi Bob Marley et ses Wailers à l’aube de leur explosion planétaire, ou plus tard une danseuse anonyme qui ne se fait pas encore appeler Madonna. Et aussi Warhol, John Waters, Divine, The Clash… Il est lui-même leader d’un groupe, The Senders, seconds couteaux bien affûtés de la scène punk New Yorkaise, qui fait les beaux soirs du Max’s et du CB’s, l’alpha et l’oméga de la déglingue stylée dont on visite ici l’arrière cuisine, voire les égouts. Pathétique, hilarant, profondément touchant, foisonnant de détails (et de substances chimiques) dont même les plus sûrs exégètes du punk ignoraient l’existence, ce livre n’a pourtant rien d’un pavé assommant pour spécialistes et fétichistes.
Ce n’est même pas à proprement parler un ouvrage sur la musique, qui en tient pourtant la place centrale, mais plutôt le journal extime d’une odyssée hors norme qui relie l’après Woodstock à l’arrivée du sida avec un fil électrique qui en aura cramé plus d’un en vol. Quant à l’Avenue D du titre, nichée dans le pire coupe-gorge de l’époque à l’Est de Manhattan, on disait que personne n’en revenait vivant. Philippe Marcadé est allé « au-delà », il en est revenu entier, et lorsqu’on dévore son témoignage, on se demande encore comment."
Si vous êtes toujours là, je continue en donnant mon avis. Alors oui ce type à vécu dix vies en une, alors que moi, pauvre petite fille, je n'en vivrai même pas une de ses vies (so sad) ! J'ai toujours aimer lire des livres concernant des chanteurs, des artistes où alors sur ces époques que sont les années 60' et 70' par exemple (autre exemple: Le temps des possibles de Suze Rotolo que je n'ai acheté à la base que parce qu'elle allait parler de Bob Dylan, mais qui au final parle de bcp plus, mais c'est encore une autre histoire). En cela j'ai trouvé ce livre vraiment intéréssant. Oui intéréssant, car on en apprend sur ces lieux, ces gens, cette ambiance. Phill les connaissait "tous", et ca, ca fait réver ! Ce livre nous fait rire (comme le passage du dealer black, de sa rencontre avec Sid Vicious, de ses appelles téléphonique à un médiocre groupe hard - mon passage préféré peut etre) et réver (même pas la peine d'expliquer pourquoi), on le finit en se disant "et pourquoi pas moi ?"
Photos trouvées sur le site de P.M., sauf celle de Simonon of course.
vendredi 10 décembre 2010
Regrets are Paradise
Ma mère m'a toujours dit "si c'est le bordel dans ta chambre, ca le sera également dans ta tête" (on quelque chose dans le genre). Et franchement quand j'ai regardé l'état de ma chambre, je me suis dis qu'elle n'avait peut être pas tord. J'ai donc entreprit un (petit) rangement, mais je n'ai toujours pas constaté de (petit) changement à l'intérieur. J'ai l'impression de vivre une période ou tout se bouscule très vite, il y a toujours quelque chose qui se passe, qui change, ca bouge, comme si tout allait s'écrouler d'une minute à l'autre (comme mes fringues de mon armoire).
Mais pour bien commencer le week end, écoutons cette petite chanson qui donne je trouve envie d'être de bonne humeur, d'être au soleil avec ses amis et de s'amuser, à ne rien faire à rigoler et j'en passe. Pour le soleil c'est foutu, mais pour le reste il me semble que c'est fesable ! Le groupe s'appelle Big Troubles et cette chanson Bite Yr Tongue, et les photos de l'article ce sont eux.
jeudi 9 décembre 2010
Not To Touch The Earth (not to see the sky)

mercredi 8 décembre 2010
Black Grease

Plus sérieusement j'ai découvert le groupe The Black Angels il y a quelques jours et j'adore ! La première chanson que j'ai écouté, manipulation, m'a comme crier "aliiiice nous sommes un groupe que tu vas adorer, combinant tout ce que tu aimes, écouuutes nouuuus", et ils avaient raison. Ca m'a tout de suite rappeler Joy Division, la voix l'ambiance, même le titre de leur premier album Passove(le nom d'une chanson de joy di). De plus ils passent à nantes le 12 février, si ce n 'est pas une preuve que ce groupe est fait pour moi... Voici donc deux chansons, qui pour l'instant sont mes préférés, Manipulation et Black Grease.
Il est désormais midi et la grosse loque que je suis va allé se trainer en cours !mardi 7 décembre 2010
Science Killer
En ce moment et comme d'habitude je suis en pleine et permanente réflexions sur moi même et je me pose beaucoup de question sur tout. Je pense que je suis trop obsédé par les relations. En effet dans un monde où même tony parker et eva longoria se séparent, comment encore croire à la réussite à long terme des relations entre les gens (pour ne pas dire "comment croire encore en "l'amour toujours") ? Je trouve les gens compliqués et parfois meme faux (non je ne pense à personne en particulier...), mais je n'ai pas envie de me plaindre ou de raconter en détails ma vie. En bref, je me suis rendu compte que je manquais de "stabillitée", depuis la rentrée je fume quatre fois plus, je dors quatre fois moins, je sors beaucoup plus et patati et patata. Je me dis qu'il me manque quelque chose, un truc qui me ferai être plus "stable". Bon je me rends compte que ce que je dis est un peu ridicule et terriblement banal, il faut que je pense à arréter de regarder les feux de l'amour et grey's anatomy dans la même journée (avec en bonus aujourd'hui deux épisodes de dawson, rien que ca !), ca me retourne trop le cerveau. Mais mon coté petite pouff kikoolol est en extase quand mes copines me racontent leur histoires (je ne citerai personnes), où quand pacey et joey s'embrassent dans un magasin où ils doivent passer la nuit (le moment kitsh de toute bonne série qui se respecte, cf: newport beach). Bref, ce qu'il me faudrait, c'est redescendre sur terre surtout, et avec tout mes "amoureux" du moments je suis encore loooin du sol (méthaphore totalement nulle je vous l'accorde).
Enfaite je voudrais plus de sensations (transition plus que pourri pour introduire cette chanson qui m'a fait bouger toute le week end et que je vous conseille fortement pour bouger vos fesses dès le matin !)
Ps: aujourd'hui ma super copine Bérangère fête son 100em article, ca serait dommage de rater ca !
lundi 6 décembre 2010
jeudi 2 décembre 2010
Chanson de la saison
Wintertime winds blow cold the season
Fallen in love, I'm hopin' to be
Wind is so cold, is that the reason?
Keeping you warm, your hands touching me
Come with me dance, my dear
Winter's so cold this year
You are so warm
My wintertime love to be
Winter time winds blue and freezin'
Comin' from northern storms in the sea
Love has been lost, is that the reason?
Trying desperately to be free
Come with me dance, my dear
Winter's so cold this year
And you are so warm
My wintertime love to be
Let me Be your Everlasting Light
Pas grand chose à raconter (d'intéréssant j'entends). En ce moment je me sens "toute chose", j'ai comme l'impression de rater beaucoup de choses, et je ne parle pas que des cours et beaucoup de trucs ne se passent pas comme je le souhaiterai, de plus j'ai comme envie de nouvelles rencontres (encore), de nouvelles sensations, je ne sais pas, d'un nouveau look pour une nouvelle vie (ahah). Ce qui tombe plutot bien c'est que je pars pour paris ce week end, j'ai hate ! Mise à part ca la fin de l'année approche (il neiiiige), ce qui signifie Noël, cadeaux (on ne va pas se le cacher), réveillon, et malheureusement révisions suivient de partielles. Ce qui m'empeche de me trancher les veines avec mes feuilles de cours c'est de me dire que je pars à Dublin après, ce qui est ma foi plutot cool étant donné que cela signifie amis, bières, visites, bars et situations insolites, là encore j'ai hate. Mais fin d'année signifie également fin de la saison 5 de Dexter, que je regarde désormais avec un ami, des pizzas des bières et des cigarettes, comme hier où l'épisode était dingue, encore une fois sous tension, et dingue (je l'ai déjà dit ?). Mais pas de panique j'ai déjà trouvé deux séries de substitutions, True Blood et The Walking Dead. Pour celles qui connaissent Comme t'y es belle, l'acteur principal de Walking dead n'est autre que Andrew Lincoln, cette fois ci dans la peau d'un sherif tueur de zombies, rien que ca. Cet article est nul. Mais la chanson qui suit est à écouter, et si vous aimez the Horrors écoutez Sea Within a Sea et Mirror's Image. Et si vous voulez rire aller voir cet article de Brain qui m'a personnellement fait beaucoup rire: * . Sur ces réjouissances je vais aller fummer et me coucher, j'ai 7h de BU qui m'attendent demain pour préparer une interro de constit.
Ah et j'ai rencontré un numéro 1, pour ceux qui comprendront.
Images du clip Mirror's Image des Horrors dont je parlais
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